L’adage « On ne prête qu’aux riches » résonne souvent dans les coulisses du monde de la notoriété et il est bien connu que la célébrité, peut susciter des rumeurs infondées.
Récemment, Mamadou Diagna Ndiaye, le président influent du CNOSS et membre du CIO, s’est retrouvé au cœur d’une controverse non méritée, en raison de ses activités dans l’industrie cinématographique. Certains médias ont tenté de mêler son nom au procès d’Isabelle Adjani, pour fraude fiscale en France, malgré le fait qu’il n’ait commis aucun délit. Cela soulève la question du rôle des jaloux dans la diffusion de fausses allégations.
Mamadou Diagna Ndiaye est un homme aux multiples casquettes et l’une d’entre elles, est la direction d’une société de production cinématographique basée à Los Angeles. En 2014, cette entreprise a octroyé à Isabelle Adjani, une « avance » sur les recettes attendues d’un film qu’elle tournait à l’époque.
Cette pratique est courante dans l’industrie du cinéma, en particulier aux États-Unis et elle n’a rien d’illégal. Il est important de noter que M. Ndiaye n’a fait que suivre les procédures habituelles de l’industrie du cinéma.
Des proches de Mamadou Diagna Ndiaye soulignent que le non-respect des obligations fiscales par Isabelle Adjani, ne saurait être attribué à M. Ndiaye. En fin de compte, le rôle de l’actrice française est de déclarer ses revenus, conformément aux lois fiscales de son pays. Dans cette affaire, il est essentiel de faire la distinction entre une pratique légale de l’industrie cinématographique et l’obligation individuelle de déclaration fiscale.
Il est également important de noter que le juge français chargé de l’affaire, n’a pas jugé nécessaire de convoquer Mamadou Diagna Ndiaye, ce qui démontre l’absence de preuves ou d’actes répréhensibles de sa part. Isabelle Adjani, quant à elle, n’a été condamnée qu’à huit mois de prison avec sursis, ce qui suggère que les autorités judiciaires ont évalué la situation et ont conclu que les faits n’avaient pas de gravité suffisante, pour justifier une peine de prison ferme.
En fin de compte, les allégations jalouses visant Mamadou Diagna Ndiaye, semblent relever davantage de la médisance que de faits réels.
La célébrité et la notoriété attirent souvent l’attention non désirée, mais il est essentiel de ne pas juger sur la base de rumeurs ou de préjugés. Dans cette affaire, les faits parlent d’eux-mêmes et il est clair que M. Ndiaye n’a commis aucune infraction. La justice a fait son travail et la vérité doit prévaloir sur les insinuations malveillantes.
leral