En marge de la célébration de la journée du Badminton Day au Sénégal, le président de Fédération Antoine Diandy a parlé des chantiers pour la promotion et la participation de cette discipline dans les grands événements sportifs.
- 5 JUILLET, le Badminton Day
Cette fête revêt un cachet particulier pour le simple fait d’autant plus qu’elle est placée sous le parrainage des journalistes sportifs. Pour le simple fait qu’il faut connaître la discipline, la vulgariser et surtout connaître les règles qui régissent cette discipline.
Le Badminton suit sa marche vers les joutes sportives à savoir les JOJ 2026 mais surtout une promotion de masse. Il faut démocratiser cette discipline. Et donner l’opportunité à un enfant où qu’il se trouve, de pratiquer le Badminton. Telle est aujourd’hui, la mission qui nous est assignée. Nous avons érigé des centres pour la démonstration, mis en place un mini-tournoi et nous voulons que vous journalistes, le public que vous êtes puisse vous accaparer de cette discipline.
Tout le monde peut pratiquer le Badminton. C’est un sport accessible, assez ludique, qui peut se jouer de 5 à 90 ans. C’est un sport qui demande assez d’efforts physiques. Mais nous avons commencé une politique pour les plus petits qui est la base. Apprendre aux jeunes la pratique pour former des Champions demain.
- Paris 2024 – JOJ 2026, de gros chantiers
C’est le souhait de toute fédération de participer aux Jeux Olympiques. Paris 2024, c’est pour demain. Nous n’avons pas encore le potentiel mais nous y travaillons. Aujourd’hui, les joutes qui s’ouvrent à nous ce sont les JOJ 2026. C’est la raison pour laquelle nous avons érigé une élite avec un noyau de 20 gamins (10 filles et 10 garçons), nous les formons parce que le Badminton est très technique. Peut-être, nous aurons des invitations pour Paris 2024 avec la convention Jokko entre le Sénégal et la France. Nous y travaillons.
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