“Le CORED a un rôle crucial à jouer, un rôle qui ne revient ni au Premier ministre ni au Président, mais bien au tribunal des pairs”, affirme Birahim Touré. Selon lui, le CORED doit veiller à ce que l’éthique et la déontologie soient respectées comme un véritable sacerdoce.

“Mais si le CORED ne remplit pas entièrement son rôle et que quelqu’un d’autre critique la presse, je pense qu’il ne fait que pointer du doigt, nos propres manquements”, ajoute-t-il.

leral

Part.

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