Nabila Massrali porte-parole du service européen d’action extérieure a encore appelé le président Macky Sall à se réfèrer à la décision du Conseil constitutionnel du Sénégal qui appelle les autorités à l’organisation de l’élection présidentielle dans les meilleurs délais, tenant compte du fait que l’élection ne peut être reportée au-delà de la durée du mandat présidentiel.

Une énième sortie au goût « d’harcèlement diplomatique » dénonce les souteneurs du chef de l’Etat.

« L’Union européenne et de sa directrice n’ont pas à donner des diktats au Sénégal sur la date de l’élection présidentielle.

De quoi cet acharnement est le nom? Quelles sont ses motivations implicites?

Que fait l’Union européenne et sa directrice pour vraiment forcer Israël à obéir au droit international et aux droits humanitaires? L’UE ne trompe personne avec son laxisme et son parti pris manifestes dans les conflits meurtriers que vit l’Europe » s’est questionné le secrétaire général du parti justice et développement (Pjd).

» Pour nous, en apostrophant le président Macky Sall, l’Union Européenne et les pays qui actionnent ses positions actuelles, versent dans l’ingérence.

Au delà de la défense du président qui est une institution nous défendons le respect qui est dû au Sénégal qui n’a pas besoin des institutions internationales téléguidées et manipulées pour régler ses problèmes internes. Au lieu de participer à la solution des problèmes. Vous les aggravez » s’est défendu le chef religieux proche du pouvoir.

Très irrité par les injonctions multiples de l’instance européenne, M. Diallo martèle que les citoyens sénégalais qui veulent se détacher des chaînes du néocolonialisme et du paternalisme des pays européens et occidentaux dans l’ensemble feront face à Mme Ursula Van Der Leyen qui verse dans la démesure.

senego

Part.
Laisser Une Réponse

Exit mobile version