À la Foire internationale de l’agriculture et des ressources animales (Fiara), le stand Keur Serigne Touba attire l’attention de plus d’un. Dans ce «temple», un mouton attise la curiosité des visiteurs ainsi que des éleveurs. Selon son propriétaire, Mame Ibra Diagne, il est impensable de vendre ce bélier qui peut lui apporter un demi-milliard.
Il ne passe pas inaperçu. Ce bélier attire les attentions des visiteurs et les passionnés de l’élevage de moutons de race ladoum. Entretenu dans un espace aux normes, le propriétaire de ce mouton rejette toute idée de vente de son bélier qui lui rapporte beaucoup.
«L’élevage est un métier difficile et complexe et requiert beaucoup de vigilance à l’égard des moutons. Ils n’ont pas de prix, car c’est de la passion vis-à-vis de ce métier. Je ne vends pas ce mouton qui a la capacité de produire 500.000.000 Cfa. Mais les personnes qui veulent acheter ce genre de mouton disposent des femelles de race et de qualité. C’est la raison pour laquelle je fais une sorte d’échange entre éleveurs», a expliqué Ma Ibra Diagne.
Le souhait de ce dernier est de faire en sorte que les Sénégalais désireux d’avoir des moutons de race puissent en disposer.
«Mon seul objectif est que toute la population puisse avoir cette race. Le Sénégal ne dispose pas suffisamment de moutons de ce genre. On a l’habitude de faire des échanges entre nous éleveurs. En plus, les moutons n’ont pas de prix. On me propose de 500.000 jusqu’ au 500.000.000 Cfa», a-t-il dit.
Ma Ibra Diagne de poursuivre : «Dans ce troupeaux, il y a seulement un mal et 15 femelles. Le mouton mâle est en mesure de produire vis-à-vis de ces 15 femelles. Ce sont les produits que nous vendons s’ils ont 3 à 4 mois entre 1 et trois millions», a-t-il dit. Pour Ma Ibra Diagne, avec ce métier, il a eu à créer plus de 300 emplois qui sont en mesure de travailler seuls et de former à leur tour d’autres jeunes
Tribune
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