Bonne nouvelle, Google a commencé à ajouter une nouvelle fonctionnalité à la version iOS de Google Maps qui ne manquera pas d’attirer l’attention des utilisateurs d’iPhone.

Le géant de la technologie introduit une fonction de compteur de vitesse sur l’application iPhone, un outil déjà connu de nombreux utilisateurs Android de Google Maps et des adeptes de Waze. L’introduction de l’indicateur de vitesse sur iOS est actuellement limitée à certaines régions et à un groupe restreint d’utilisateurs.

Son apparition suggère que Google est en phase de test, afin d’évaluer la réaction des utilisateurs et de résoudre les éventuels problèmes avant une diffusion plus large. L’arrivée de cette fonctionnalité a été remarquée pour la première fois sur Reddit, où un utilisateur de l’iPhone 14 Pro a déclaré avoir vu le compteur de vitesse, alors qu’il était absent de l’iPhone 14 Pro Max.

GOOGLE MAPS S’AMÉLIORE ENCORE SUR IPHONE
Ce qui rend cet ajout particulièrement intéressant, c’est la précision supposée des compteurs de vitesse basés sur le GPS. Selon autoevolution, ces indicateurs de vitesse numériques sont souvent plus précis que les compteurs de vitesse traditionnels que l’on trouve sur les tableaux de bord des voitures. Cette précision accrue est intéressante pour les conducteurs qui doivent respecter scrupuleusement les limitations de vitesse ou pour ceux qui sont simplement curieux de connaître leur vitesse exacte.

L’intégration d’un compteur de vitesse dans Google Maps pour iOS était attendue, puisque la fonctionnalité est déjà présente sur Android et Waze, une autre application de navigation appartenant à Google.

Dans Waze, les utilisateurs apprécient depuis longtemps de pouvoir non seulement afficher leur vitesse actuelle, mais aussi de recevoir des alertes en cas de dépassement des limites de vitesse. Ces fonctions peuvent être personnalisées en fonction des préférences de chacun, ce qui permet aux conducteurs de définir des seuils spécifiques pour les alertes de vitesse.

Toutefois, il est essentiel de noter que la légalité de l’utilisation de ces fonctions varie selon les juridictions.

Dans certains États aux États-Unis, par exemple, il est illégal pour les conducteurs de tenir un smartphone ou d’interagir avec celui-ci lorsqu’ils conduisent un véhicule. Il faut donc mieux suivre ce que disent les panneaux de signalisations plutôt que de se fier aveuglément à l’application Maps.

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