Dans ce contexte, l’association « Safara Hépatite » a porté le plaidoyer pour une meilleure prise en charge des malades d’Hépatite, mais également sensibiliser davantage sur cette maladie « sournoise ».
Mme Fatou Guirane, présidente de ladite association revient dans cet entretien, accordé à Seneweb, pour l’occasion sur les difficultés que rencontrent les malades. A l’en croire, l’Hépatite B fait des ravages chez les jeunes. Le traitement est aussi très coûteux. S’agissant de la prévalence, le programme national de lutte contre les hépatites (PNLH) estime à 17% les Sénégalais porteurs chroniques. Parmi eux, 20 à 30% évoluent vers la Cirrhose et le cancer du foie… C’est d’ailleurs pourquoi l’Etat est invité à plus d’efforts dans la prise en charge.
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