” CES ANCIENS PRÉSIDENTS PEUVENT JOUER UN RÔLE DE CONSULTANT
Cette lettre supposée, prétendument signée par les anciens Président du Sénégal Abdou Diouf et Abdoulaye Wade et adressée au Président Macky Sall, aurait déclenché de vives controverses.
Bien que l’authenticité de ces missives reste incertaine, certains observateurs politiques estiment que les tensions persistantes entre les anciens et les nouveaux dirigeants compliquent toute forme de collaboration ou de conseil de la part des prédécesseurs, alors que la coopération mutuelle serait souhaitable pour le bien du pays.
Au Sénégal, Senghor, Diouf et Wade ont tous choisi de se retirer de la gestion de l’État à la fin de leurs mandats.
Un choix que ne partage pas Mamadou Sy Albert qui pense que ces anciens présidents conservent toujours une voix pertinente.
« La fonction présidentielle est à vie, donc perdre une élection présidentielle ne signifie pas se retirer du fonctionnement de l’État.
Il incombe à l’État de créer une structure permettant aux anciens et au président en exercice de collaborer, car ils peuvent toujours offrir conseils et suggestions », a déclaré Mr Sy. Une vision d’ailleurs que partage l’analyste Pape Amadou Fall.
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