Ces dernières années, l’Ecole des sables, créée par Germaine Acogny à Toubab Dialao, traversait des zones de turbulence.
A un moment, de sérieuses craintes de fermeture ont pesé sur l’établissement, qui avait perdu certains de ses financements. Aujourd’hui, après une structuration et le retrait de Germaine Acogny de la tête de l’école, celle-ci continue à fonctionner. «On survit. Le combat est permanent et perpétuel», informe le Directeur administratif de l’école, Paul Sagna.
«Comme tout le monde, on réfléchit à des stratégies sur comment rendre cette industrie pérenne et viable», assure pour sa part le Directeur technique, Didier Delgado. Mais les problèmes que vit l’Ecole des sables sont les mêmes pour les autres compagnies confrontées à un manque de financement, un déficit d’offres de formation et des carences en gestion d’entreprises culturelles.
Autant de questions qui interpellent les professionnels du secteur et qui devraient être l’objet d’une réflexion plus approfondie.
lequotidien
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