Dans l’optique d’améliorer les conditions de vie et de travail des femmes transformatrices de poisson en Casamance, Izawa Osamu, ambassadeur du Japon au Sénégal et le Coordonnateur sous-régional pour l’Afrique de la FAO, Gouantoueu Robert Guei, ont signé, ce mardi, en présence du ministre de la Pêche et de l’Economie maritime du Sénégal, une convention, nous informe l’agence de presse sénégalaise (APS) ce 28 février.

D’un coût global de 1 860 000 dollars US (1,12 milliards de francs Cfa) pour trois ans, le projet « Améliorer la qualité de vie et les moyens d’existence des femmes transformatrices de poisson et de leurs communautés en Casamance » vise l’amélioration de la qualité de vie des communautés de pêcheurs pour « renforcer le secteur de la pêche artisanale en Casamance, au Sénégal, tout en assurant la sécurité alimentaire et nutritionnelle ainsi que l’emploi, en améliorant l’infrastructure post-récolte et le renforcement des capacités des femmes transformatrices de poisson », selon le document de presse, en particulier pour les femmes transformatrices de poissons.

Le projet permettra aussi , la construction et la modernisation d’infrastructures de transformation du poisson aux normes écologiques et sanitaires à Cap Skirring, Elinkine, Fanda, Goudomp, Niaguiss et Ziguinchor, ainsi que leurs petits villages environnants avec d’importants sites de débarquement, tout au long du fleuve Casamance.

La technique du fumage du poisson au four FAO-Thiaroye de transformation (FTT) issue de la collaboration entre la FAO et le Centre national de formation des techniciens de la pêche et de l’aquaculture (CNFTPA) est le processus mis en avant dans ce projet.

Pour finir, l’ambassadeur du Japon au Sénégal, Izawa Osamu, affirme que « Ce projet est une réponse concrète aux situations difficiles des femmes et contribue à l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail ».

rewmi

Part.
Laisser Une Réponse

Exit mobile version