Rien ne peut interdire Bassirou Diomaye Faye de candidater en 2024, assure Clédor Sène, selon qui, le plan B de l’ex-Pastef ne peut être jugé, d’ici février 2024.

« Bassirou Diomaye Faye n’a aucune condamnation définitive. Et on ne peut pas le juger des chefs d’inculpation d’ici février, et faire appel et aller à la cour suprême. C’est matériellement et temporellement impossible. Donc, sur le plan de la justice, il n’y a rien qui peut l’empêcher de se présenter à l’élection de 2024 », a fait savoir Clédor Sène.

Et concernant le code électoral, Clédor Sène de préciser qu’un parti politique légalement constitué parmi les alliés de l’ex-pastef peut porter la candidature de Bassirou Diomaye Faye, mais dans ce cas, il sera obligé de porter le nom de ce parti. Également,

« il peut prendre deux récépissés de partis politiques ou plus, et dans ce cas, il sera investi par une coalition de partis politiques. Et dans ce cas, il peut même nommer cette coalition « Sonko 2024″ et aller à l’élection présidentielle. Il n’y a aucun texte de loi qui l’interdit », a-t-il ajouté.

Aussi, Bassirou Diomaye a le choix de déposer entre le parrainage des élus et le parrainage citoyens. « Donc, il a tous les atouts en main pour que Pastef ait un candidat qui puisse gagner en 2024 », assure Clédor Sène.

senego

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