Les informations ci-dessous, offrent une vue d’ensemble sur les différents points soulevés par les acteurs portuaires ainsi que les administrations concernées. Des niches susceptibles de favoriser une baisse ont été identifiées par rapport à certaines prestations.

Les solutions immédiates trouvées résident dans la suppression de doublons (mêmes prestations facturées à plus d’une fois) ou dans l’identification du destinataire d’un service (cas de la commission sur débours sur la taxe de port, facturée à l’importateur, alors que les conditions pour son encaissement ne sont pas réunies).

Aussi, la quête d’éventuelle baisse des prix ne doit pas occulter le rôle social des acteurs portuaires, dans leur politique d’emplois. Ainsi, une grande part de nos réflexions a porté sur la préservation de la viabilité des métiers portuaires.

Egalement, la question de l’efficience opérationnelle au niveau du Port, est amplement revenue dans les débats. Les acteurs sont conscients de l’importance de réfléchir sur des solutions à même de baisser les coûts du frêt et des surestaries et de rendre le Port de Dakar pus attractif.

Les autres structures publiques dont l’intervention dans le domaine portuaire induit des coûts, doivent aussi être sollicitées sur les efforts de baisse, comme cela a été révélé ci-dessus.

Il a été demandé au Port, dans le cadre de la gestion et de l’aménagement des infrastructures, d’étendre l’extension des sites de stockage pour le conventionnel et de réquisitionner également les anciens locaux de la Sonacos.

Enfin, pour la Douane, une application effective des dispositions du code portant sur la gestion des marchandises en souffrance, pourrait aider à améliorer la fluidité du trafic au niveau du port.

leral

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