Saly Portudal (couramment appelée Saly), une station balnéaire située sur la Petite-Côte, au sud de Dakar, la capitale sénégalaise a accueilli, du samedi 16 au dimanche 17 décembre 2023, une session de formation axée sur l’appui au plaidoyer sur la pêche Inn et la transparence dans le secteur de la pêche au profit des journalistes et communicants ainsi que des représentants d’organisations professionnelles s’activant dans le secteur de la pêche et de la transformation de produits halieutiques prennent, a-t-on appris de nos confrères de l’Agence sénégalaise de presse (APS).

Cette session de formation est initiée par l’ONG Environnement Justice Foundation (EJF), en relation avec le Groupe recherche environnement et presse). Elle est animée par des experts sénégalais.Bassirou Diarra, chargé de campagne de plaidoyer à l’ONG EJF, s’exprimant à l’ouverture de l’atelier de renforcement des capacités des journalistes et communicants en appui au plaidoyer sur la pêche Inn et la transparence dans le secteur de la pêche a déclaré que « nous pensons que la couverture médiatique des activités dans le secteur de la pêche pourrait jouer un rôle clé dans la gouvernance, la transparence dans la gestion du secteur.

Nous pensons que les journalistes peuvent aider à apporter la transparence dans le secteur », lit-on dans les colonnes de l’APS.

L’objectif de cette rencontre est de former les journalistes et acteurs médiatiques à une meilleure compréhension des enjeux de la lutte contre la pêche Inn et de la transparence dans la gestion des ressources marines au Sénégal pour permettre un « reporting actif » sur ces sujets, a dit M. Diarra en présence des experts, des représentants d’organisations professionnelles de pêche, des femmes transformatrices de produits halieutiques et divers acteurs.

Pour sa part, le journaliste et président du GREP, a salué l’organisation de cette rencontre, mais aussi la participation de divers acteurs.

A cet effet, Abdoulaye Barry a confié à l’APS qu’« il est très important de renforcer les capacités des acteurs notamment des journalistes pour qu’ils puissent s’appuyer sur des informations solides pour pouvoir en faire un large partage, donner la bonne information »

.Pour Abdoulaye Barry, il faut régulièrement renforcer les capacités des journalistes « qui gagneraient à avoir plus d’expériences pour mieux traiter ces informations » relatives au secteur de la pêche.

VivAfrik

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