Une lueur d’espoir avec le nouvel hôpital Cheikh Ahmadoul Khadim. Même si son directeur renseigne que le centre des brûlés n’est pas encore ouvert car les spécialistes qui sont pressentis pour le tenir doivent faire des formations complémentaires en Europe.

«J’ai pu obtenir un stage pour le coordonnateur et il est dans les formalités», a-t-il dit. Il n’y a pas que la région de Diourbel, presque tout le pays est dans la même situation.

Le médecin anesthésiste-réanimateur, Bacary Thior, en service à l’hôpital Idrissa Pouye de Grand Yoff déplore, après l’explosion d’une bonbonne de gaz de Derklé, «qu’en ce 21ème siècle, le Sénégal ne puisse pas disposer d’un Centre de traitement des grands brûlés».

emedia

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