C’est une série événement qui est arrivée sur Ocs dans la nuit de dimanche à lundi. Et les fans sont dans les starting-blocks. House of the Dragon débarque trois ans après la fin de la huitième saison d’une série mondiale culte, Game of Thrones, dont elle est dérivée. Les attentes sont immenses.

Deux cents millions de dollars ont été investis rien que pour les dix premiers épisodes de House of the Dragon. Cette nouvelle saga, qui rêve de faire aussi bien que Game of Thrones, dont elle est une version dérivée, suscite autant d’espoir que d’inquiétude, car cumuler succès populaire mondial et succès critique est une alchimie rare. Les fans vont donc pouvoir retrouver la puissante dynastie des Targaryens et leurs dragons à la tête d’un empire calqué sur Rome. La série devra relever plusieurs défis : rester fidèle à l’univers d’origine pour ne pas perdre les spectateurs, renouveler la proposition pour maintenir l’intérêt et refléter le monde d’aujourd’hui.

Plus de places aux femmes au scénario et derrière la caméra
House of the Dragon a entendu les critiques faites à Game of Thrones, accusé de complaisance dans la description des viols et des violences faites aux femmes. Les équipes de scénaristes seront désormais mixtes. Quatre épisodes sur 10 sont d’ailleurs réalisés par des femmes. On attend aussi beaucoup du retour au scénario de George R.R. Martin, l’auteur de ces formidables récits d’heroic fantasy qui auscultent les ressorts du pouvoir et du désir humain tout autant que la cruauté de dynasties imaginaires à travers les âges.
Rfi

Part.
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