Cette route principale qui passe devant le conseil départemental et la mairie de Keur Massar pose de sérieux problèmes pour les riverains et tous ceux qui l’empruntent pour aller vers l’hinterland de Keur Massar. Les eaux de ruissellement ont fini, par endroit, de la couper carrément.

Si l’on y ajoute les creux qui dépassent le niveau du nid de poule, c’est une circulation qui est rendue presque impossible sur une route qui peut être considérée comme une route nationale. Pourquoi ? Parce qu’après la station Shell située au niveau du rond-point qui constitue un point d’éclatement pour tout le trafic qui vient de l’autoroute à péage, de Malika-Yeumbeul et de la route nationale, c’est ce tronçon qui est emprunté pour aller à Tivaouane Peul, Niague, Niakourab, Ndiakhirat, Sangalkam, Bambilor, Keur Ndiaye Lo, le Lac rose, la zone des Niayes, d’une manière générale.

S’y ajoutent les cités qui pullulent dans les environs de Keur Massar et ceux qui vont vers Thiès, Tivaouane et même Saint-Louis. Ce qui en fait l’une des routes les plus fréquentées dans la région de Dakar.

Comble de bizarrerie, c’est cette route qui est aujourd’hui coupée par les eaux et qui est, d’une certaine manière, laissée à son propre sort, d’autant plus qu’il s’agit d’une situation qui revient presque chaque année, à pareille époque, avec un principal point noir qui est situé à moins de deux cent mètres de la mairie de Keur Massar. Toutes choses qui font que d’abord y a que les bus Tata, cars rapides, Ndiaga Ndiaye et autres camions qui peuvent l’emprunter, mais même avec ces moyens de transport, il faut mettre un temps fou là où, en temps normal, c’est un trajet d’une dizaine de minutes pour rallier la station Shell, avant de piquer sur le péage.

dakarmatin

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