La politique, dans son essence la plus pure, est l’éclat de la démocratie. Certes, c’est l’art de gouverner et de représenter le peuple, mais, avant tout, elle est une question de proximité, de connexion avec les citoyens, une opportunité de discuter des véritables problèmes qui les affectent.

Dès lors, le meilleur candidat à l’élection présidentielle est celui qui comprend l’importance de cette proximité avec le peuple. Et dans ce registre, aucun prétendant n’égale Khalifa Ababacar Sall. 

Dans une démarche inclusive et inspirante, le leader de la plateforme Taxawu Senegaal sillonne le pays, commune par commune, quartier par quartier, hameau après hameau afin d’échanger directement avec les Sénégalais.

Sans doute parce qu’il sait, de longue date, que la véritable légitimité politique s’acquiert par des mandats électifs, mais aussi et surtout par la confiance du peuple. Pendant 23 ans d’opposition, Khalifa Ababacar Sall a marqué l’arène politique par une fidélité inébranlable à ses valeurs et principes.

À travers des mandats électifs successifs, obtenus de haute lutte, l’ancien maire de Dakar a su gagner et conserver la confiance du peuple, un exploit rare dans le landerneau politique où la transhumance est la règle.

En contrastant avec le candidat du pouvoir, qui s’accroche à son strapontin pour faire campagne, en utilisant les moyens et privilèges de l’État, Khalifa Ababacar Sall par son « Mottali Yéenne » illustre la quintessence d’une campagne centrée sur le peuple.

En face de lui, un Premier Ministre jamais élu, préfère se cacher derrière le président sortant, pour mener une bataille électorale par procuration. 

S’il est vrai que l’administration de l’État doit être orientée vers le bien-être des citoyens, le dernier remaniement ministériel indique clairement que l’agenda politique l’emporte sur les véritables besoins de la population.

En réalité, à moins de cinq mois de l’élection présidentielle, le nouveau gouvernement est, à tout point de vue, un directoire de campagne au service d’un fonctionnaire riche comme Crésus, un Premier Ministre incapable d’apporter des solutions aux difficultés auxquelles sont confrontés les Sénégalais au quotidien.

Le chômage persiste, l’accès à l’éducation et aux soins de santé reste précaire pour de nombreuses communautés et les inégalités se multiplient. Les attentes d’un changement positif sont restées insatisfaites et les espoirs d’une amélioration significative déçus.

Au lieu de concentrer ses efforts sur l’amélioration de la vie des Sénégalais, Amadou Bâ privilégie son ambition politique, en faisant du gouvernement un instrument pour consolider son pouvoir personnel. 

Heureusement, la politique, dans sa forme la plus noble, ne se fait pas dans les salons dorés des palais. C’est sur le terrain que les véritables préoccupations des Sénégalais sont découvertes, où les solutions aux problèmes du pays sont discutées et où la confiance du peuple est gagnée.

C’est pourquoi, Khalifa Ababacar Sall a fait le choix de la proximité, de l’écoute et de la compréhension des besoins de ses concitoyens. En parcourant les rues, les places, les marchés et les quartiers du Sénégal, il tisse des liens solides avec les Sénégalais, établissant un dialogue franc et direct.

Une approche qui démontre sa sincérité, son engagement et sa vision d’une politique authentique, fondée sur l’échange et le partage.

Il faut donc se convaincre définitivement que la légitimité politique ne peut être imposée par des titres, des postes ou la manipulation, elle doit être gagnée par la volonté du peuple.

En se lançant dans cette campagne de terrain, en prêtant une oreille attentive aux besoins et aux préoccupations de ses concitoyens, Khalifa Ababacar Sall incarne la véritable essence de la démocratie.

Il est l’exemple du candidat qui se tient aux côtés de son peuple, prêt à représenter les intérêts de tous les citoyens avec intégrité, transparence et détermination.

Qu’on ne s’y trompe pas, dans une élection présidentielle, ce sont les candidats qui sont prêts à rencontrer les citoyens sur le terrain, à écouter leurs préoccupations et à construire un avenir meilleur ensemble, qui méritent la confiance et la légitimité du peuple.

La politique est une affaire de proximité, d’engagement et de confiance, c’est ce que représente Khalifa Ababacar Sall.

Elhadji Ndiaye

Adjoint au maire à la commune de Grand Yoff

seneweb

Part.
Laisser Une Réponse

Exit mobile version