Pratiquer une activité physique modérée de façon régulière suffirait à préserver sa santé cérébrale. Les chercheurs montrent que des volumes cérébraux plus importants sont associés à l’exercice physique, ce qui pourrait aider à retarder le déclin cognitif lié à l’âge.

Selon une nouvelle étude américaine, une activité physique même modérée est associée à une augmentation des volumes cérébraux, ce qui indique de potentiels effets neuroprotecteurs. Les régions du cerveau concernées – la matière grise, la matière blanche, l’hippocampe, et les lobe frontal, pariétal et occipital – sont responsables de la mémoire, de l’apprentissage ou encore des capacités de décision.

Même si un « gros » cerveau ne garantit pas forcément une fonctionnalité cognitive accrue, il est souvent considéré comme un bon indicateur de l’évolution des capacités cognitives.

L’étude publiée dans le Journal of Alzheimer’s Disease a inclus 10 125 participants en bonne santé (53 ans en moyenne, une moitié de femmes). Les trois quarts d’entre eux ont déclaré pratiquer une activité physique modérée ou vigoureuse environ quatre jours par semaine, définie par des activités augmentant la respiration et le pouls pendant au moins 10 minutes continues comme la marche et la course à pied.

La recherche a examiné leurs scanners cérébraux (par IRM) et a mis en évidence que les personnes sportives avaient des volumes cérébraux plus importants que les autres. Si les « 10 000 pas par jour » sont populaires, 4 000 pas au quotidien seraient suffisants pour présenter un effet positif sur la santé du cerveau d’après les chercheurs.

Le sport, un partenaire pour vieillir en bonne santé ?
Avec l’âge, cet effet bénéfique est de plus en plus important car la possibilité de développer une maladie neurodégénérative (comme la maladie d’Alzheimer) s’accroît. Les chercheurs estiment que des volumes cérébraux plus importants peuvent aider à retarder le déclin cognitif qui accompagne ces maladies.

« Non seulement l’exercice physique réduit le risque de démence, mais il contribue également à maintenir la taille du cerveau, ce qui est crucial à mesure que nous vieillissons », conclut le radiologue Cyrus Raji, de l’université Washington à Saint-Louis.

futura

Pratiquer une activité physique modérée de façon régulière suffirait à préserver sa santé cérébrale. Les chercheurs montrent que des volumes cérébraux plus importants sont associés à l’exercice physique, ce qui pourrait aider à retarder le déclin cognitif lié à l’âge.

Selon une nouvelle étude américaine, une activité physique même modérée est associée à une augmentation des volumes cérébraux, ce qui indique de potentiels effets neuroprotecteurs. Les régions du cerveau concernées – la matière grise, la matière blanche, l’hippocampe, et les lobe frontal, pariétal et occipital – sont responsables de la mémoire, de l’apprentissage ou encore des capacités de décision.

Même si un « gros » cerveau ne garantit pas forcément une fonctionnalité cognitive accrue, il est souvent considéré comme un bon indicateur de l’évolution des capacités cognitives.

L’étude publiée dans le Journal of Alzheimer’s Disease a inclus 10 125 participants en bonne santé (53 ans en moyenne, une moitié de femmes). Les trois quarts d’entre eux ont déclaré pratiquer une activité physique modérée ou vigoureuse environ quatre jours par semaine, définie par des activités augmentant la respiration et le pouls pendant au moins 10 minutes continues comme la marche et la course à pied.

La recherche a examiné leurs scanners cérébraux (par IRM) et a mis en évidence que les personnes sportives avaient des volumes cérébraux plus importants que les autres. Si les « 10 000 pas par jour » sont populaires, 4 000 pas au quotidien seraient suffisants pour présenter un effet positif sur la santé du cerveau d’après les chercheurs.

Le sport, un partenaire pour vieillir en bonne santé ?
Avec l’âge, cet effet bénéfique est de plus en plus important car la possibilité de développer une maladie neurodégénérative (comme la maladie d’Alzheimer) s’accroît. Les chercheurs estiment que des volumes cérébraux plus importants peuvent aider à retarder le déclin cognitif qui accompagne ces maladies.

« Non seulement l’exercice physique réduit le risque de démence, mais il contribue également à maintenir la taille du cerveau, ce qui est crucial à mesure que nous vieillissons », conclut le radiologue Cyrus Raji, de l’université Washington à Saint-Louis.

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