Du 5 au 8 juin 2024, Saint-Louis a accueilli la 5e édition du Festival Public Court, le Gala international du Court métrage. Venu présider la cérémonie de clôture, le Secrétaire d’Etat à la Culture, aux industries créatives et au patrimoine historique a réaffirmé l’engagement de l’Etat à accompagner le secteur cinématographique.

L’Etat du Sénégal est «engagé à accompagner davantage» les acteurs du secteur du cinéma et de l’art en général, a assuré le secrétaire d’Etat à la Culture, aux industries créatives et au patrimoine historique, Bakary Sarr.

«Par la Direction de la cinématographie, le Fopica, l’Etat du Sénégal, par la diligence du Président Bassirou Diomaye Faye et de son Premier ministre Ous­mane Sonko, est engagé naturellement à accompagner davantage les acteurs, les experts à mieux stabiliser, mais également à mieux faire en sorte que le secteur du cinéma, de l’art en général puisse avancer encore et bénéficier justement de toutes les possibilités que nous avons actuellement pour aider les jeunes, surtout les jeunes créateurs, à faire carrière dans le domaine du cinéma», a-t-il déclaré.

M. Sarr s’entretenait avec des journalistes en marge de la cérémonie de clôture de la 5e édition du Gala international du Court métrage de Saint-Louis (5-8 juin 2024).

Il a aussi indiqué que le ministère de la Jeunesse, des sports et de la culture est disposé à accompagner davantage toute cette dynamique de créativité qui est en train de se mettre en place. Il s’est réjoui de participer à la cérémonie de clôture de ce festival. «Pendant plusieurs jours, le public a été invité à juger un certain nombre de productions artistiques.

Et je me réjouis que le public ait choisi ce qu’il estime être les meilleurs films», a-t-il lancé, soulignant que ces films démontrent naturellement toute cette envie, cette envergure, mais également cette profondeur de la créativité artistique.

En­seignant-chercheur à l’Uni­versité Gaston Berger (Ugb) de Saint-Louis, Dr Gora Seck, l’organisateur de ce festival, a magnifié le niveau atteint par la manifestation.

Il a également salué la présence du public lors de ce Gala international et dit avoir travaillé dans ce sens avec une équipe composée, entre autres, d’étudiants. Etudiante en section cinéma à l’Ugb et réalisatrice du film

Le prénom, lequel a remporté le 2e prix de ce Gala international de Court métrage, Aïssatou Ndiaye Gaye a exprimé sa fierté, mais également sa satisfaction pour cette récompense.

Aps

Part.
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